La première parfumerie de niche christocentique

The Golden Dove


Un Héritage de Parfum et d'Amour
Dès mon plus jeune âge, les parfums ont occupé une place particulière dans ma vie, non seulement comme une passion personnelle, mais aussi comme un héritage familial. Dans ma famille, ma mère a toujours été la gardienne des parfums, offrant des flacons lors des anniversaires et des célébrations de Noël.
C’était sa manière de transmettre de l’amour, de l’attention, et de la valeur aux êtres chers. Mon père, quant à lui, avait une vision unique : il voyait le parfum comme une déclaration d'identité, un symbole de force et de présence.
Lors de nos repas de famille ou des rassemblements entre amis, il portait toujours un parfum distinctif, affirmant son rôle de "coq de la basse-cour."
Cette fascination pour le monde des fragrances s’est ancrée en moi dès l’enfance. Me parfumer, même enfant, était pour moi une façon de me distinguer, de me montrer "en avance sur mon âge." C’était ma manière de projeter une image de maturité et de singularité, même au milieu d’amis qui ne partageaient pas encore cet intérêt.
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La présence divine
Avec le temps, cet intérêt s'est transformé en une véritable quête identitaire. Chaque parfum que je choisissais devenait une extension de moi-même, une déclaration silencieuse de ma personnalité et de mes valeurs. J'ai été surnommé "celui qui sent toujours bon," que ce soit après une séance de sport ou lors de moments de communion à l’église. Là, le parfum prenait une dimension spirituelle : il symbolisait l’onction, la présence divine, et l’amour universel.
